La veille technologique comprend plusieurs choses comme la collecte, le partage et la diffusion d’informations, permettant d’anticiper ou de s’informer sur des changements en matière de Recherche, Développement, Brevet, Lancement de nouveaux produits, matériaux, processus, concepts, innovation de fabrication, etc…, afin d’évaluer l’impact sur l’environnement et l’organisation.

La veille technologique impliquera de surveiller et d’analyser, notamment l’information scientifique, technique, mais aussi les tendances et analyses prospectives afin de détecter au mieux les cycles et les ruptures.

Le suivi de l’information passe par plusieurs procédés :

• La méthode pull (tirer l’information), permet de rechercher par soi-même (recherche sur internet, magazine, bibliothèque, séminaires…). Cette démarche prend beaucoup de temps, mais a l’avantage de répondre de manière précise à la demande.
• La méthode push (pousser l’information), permet à l’information de venir vers nous régulièrement et automatiquement. C’est un gain de temps. Mais attention à bien cibler sa demande, pour ne recevoir que des informations utiles !
• Les alertes signalent la publication de nouvelles informations dans une revue, un portail, un blog ou un site web. On pose l’alerte dans un moteur de recherche, une base de données spécifique ou directement sur le site. Ex : Les alertes par mail, les alertes par flux RSS
• Le micro-blogging : Il s’agit d’échanges de messages instantanés courts pour partager de l’information avec une communauté d’internautes. Ex : Twitter.
• Plate-forme de partage de signets (bookmarking social). Ex : Diigoet et Delicious.
• Les agrégateurs de flux permettent de centraliser sur une plateforme unique les flux ou fils RSS disponibles sur différentes portails, sites web ou blogs que vous aurez sélectionnés en amont. Ex : Netvibes.

Personnellement j’utilise plusieurs moyens pour faire ma veille technologique :

1. Les alertes Google (Push)
2. Les Newsletters Google (Push)
3. Les recherches sur Internet (Pull)
4. Les flux RSS des sites commme (Le Monde Informatique, ...) (Les agrégateurs de flux)